Nicki Minaj Vents After YouTube Hit Her Video With Skeng With Age Restriction

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Urban Islandz

Nicki Minaj is blasting YouTube for adding an age restriction on her “Likkle Miss Remix” music video with Skeng. On Monday afternoon, Minaj called out YouTube as well as her label for adding the restriction or letting it be added.

According to YouTube, an age restriction might be added to a video after reviewing the content.

“When a video is age-restricted, viewers must be signed in and 18 years of age or older to view it,” the platform said.

Additionally, age-restricted videos are screened for content that has, violence, disturbing imagery, nudity, sexually suggestive content, and portrayal of dangerous activities. On Monday, Minaj claimed that YouTube was being unfair to her and that they were “in bed with a certain record label and [management] company].

“Imagine this. They restricted my f***** video but have things a million f**** times worse on their BOGUS F*** PLATFORM. this is what they do to keep you from winning while doing ads for other ppl and posting FAKE F*** STATS,” she wrote on Instagram.

Nicki Minaj Instagram

She also cursed out the label. “Because the same ppl who run YouTube are in bed with a certain record label and mngmnt company,” she added.

Nicki Minaj also theorized that there was a scheme at play to deprive her of views after the remix first dropped and lashed out at her employees at her label, whom she called “DUDS.”

Meanwhile, there were mixed reviews of Minaj’s claims, with some agreeing that the rapper’s algorithm had other artists on it when her music was searched. Others claimed that Minaj’s tactic was to generate controversy to get the song’s numbers up.

“They really have to start telling these artists the truth about these numbers and how restrictions work because this is actually pretty normal to receive from YouTube lol,” another added. “Organic reach is everything but if you want to reach more ppl outside of your target audience then you pay to run them ads (which does work). That might not be her method but it is a common method and it’s prettt stupid to knock if we being honest lol. & most importantly you don’t need a machine to do it. I too would cross promo my video on her channel, the fan base numbers speak for themselves!! Why run an ad where an audience doesn’t exist? Are we slow now?”

NewsAmericasNow.com

Financiën vrijgemaakt voor renovatie scholen binnenland

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: De Ware Tijd Online

PARAMARBO — Het ministerie van Onderwijs, Wetenschap en Cultuur (Minowc) heeft financiële middelen gehad om de door overstroming getroffen scholen

NewsAmericasNow.com

Manifestations en Iran: plus de 75 morts en 10…

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

Plus de 75 personnes ont été tuées en Iran dans la répression des manifestations déclenchées il y a dix jours par la mort d’une jeune femme détenue par la police des moeurs, a indiqué lundi une ONG.

Les autorités iraniennes ont elles jusque-là donné un bilan de 41 morts incluant manifestants et forces de l’ordre. Elles ont aussi annoncé l’arrestation de plus de 1.200 manifestants.

Les protestations ont éclaté le 16 septembre après le décès à l’hôpital de la jeune Iranienne de 22 ans, Mahsa Amini, arrêtée trois jours auparavant pour non respect du code vestimentaire strict pour les femmes en République islamique d’Iran.

Elles sont les plus importantes depuis celles de novembre 2019, provoquées par la hausse des prix de l’essence en Iran, qui avaient été sévèrement réprimées (230 morts selon un bilan officiel, plus de 300 selon Amnesty International).

Selon l’ONG Iran Human Rights (IHR), basée à Oslo, “au moins 76 personnes ont été tuées dans les manifestations” dont “six femmes et quatre enfants”, dans 14 provinces du pays.

L’ONG a affirmé avoir obtenu des “vidéos et des certificats de décès confirmant des tirs à balles réelles sur des manifestants”.

Depuis le décès de Mahsa Amini, les Iraniens sont descendus chaque soir dans la rue.

“Le matin, ma femme conduit les enfants à l’école et moi j’ouvre mon magasin. Tout est calme”, a indiqué Mahmoud, 60 ans, sur la place Valiasr à Téhéran. “Mais dès que le soir tombe et que les manifestations commencent je suis obligé de fermer mon magasin.”

De nombreux policiers casqués et armés de bâtons prennent alors position pour tenter d’empêcher les rassemblements.

– “Femme, Vie, Liberté” –

Encore dimanche soir, les protestations ont eu lieu à Téhéran et dans plusieurs villes.

Dans le nord-ouest de la capitale, des manifestants, dont certains rassemblés sur des toits d’immeubles, lancent des slogans antigouvernementaux entrecoupés de “Femme, Vie et liberté”, a raconté Ali, un habitant.

Selon des images publiées par l’IHR, des manifestants à Téhéran ont crié “Mort au dictateur”, appelant à la chute du guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei.

La police anti-émeute a frappé des manifestants à coups de matraque et des étudiants ont déchiré de grandes photos du guide suprême et de son prédécesseur, l’imam Khomeiny, d’après de récentes vidéos publiées par l’AFP.

Elle a aussi tiré des plombs et à balles réelles sur les protestataires qui ont lancé des pierres, incendié des voitures de police et mis le feu à des bâtiments publics, selon des groupes de défense des droits humains.

D’autres images ont montré des femmes enlevant et incendiant leurs voiles ou se coupant symboliquement les cheveux, encouragées par la foule, dans plusieurs villes.

Outre les plus de 1.200 arrestations par les autorités -environ 450 dans la province de Mazandaran (nord) et plus de 700 dans la province voisine de Gilan-, le Comité pour la protection des journalistes a fait état lundi de l’arrestation de 20 journalistes iraniens depuis le 16 septembre.

L’Iran a imputé le mouvement de contestation à des “complots étrangers”, pointant du doigt les Etats-Unis, son ennemi juré.

Son chef de la diplomatie Hossein Amir-Abdollahian, a critiqué “l’approche interventionniste des Etats-Unis dans les affaires de l’Iran”, leur reprochant de soutenir “les émeutiers”.

– “Ecouter les demandes du peuple” –

Face à la répression, l’Union européenne a dénoncé l’usage “généralisé et disproportionné de la force”.

Le président américain Joe Biden a lui aussi dénoncé la répression des manifestations, se disant solidaire des “femmes courageuses d’Iran”.

Le Canada a décidé d’imposer des sanctions contre une dizaine de responsables iraniens et d’entités dont la police des moeurs.

Et Berlin a appelé l’Iran à “ne pas recourir à la violence” contre les manifestants.

Mais les autorités iraniennes restent fermes.

Samedi, le président conservateur Ebrahim Raïssi a appelé les forces de l’ordre à agir contre les manifestants, qualifiés “d’émeutiers”. Après lui, le chef du pouvoir judiciaire, Gholamhossein Mohseni Ejei, a exclu toute “indulgence” envers les instigateurs des “émeutes”.

Néanmoins, un important religieux conservateur et un ardent défenseur d’Ali Khamenei, le grand ayatollah Hossein Nouri Hamedani, a appelé les autorités à “écouter les demandes du peuple et à régler ses problèmes”.

NewsAmericasNow.com

Manifestations en Iran: plus de 75 morts en 10…

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Guadeloupe FranceAntilles

Plus de 75 personnes ont été tuées en Iran dans la répression des manifestations déclenchées il y a dix jours par la mort d’une jeune femme détenue par la police des moeurs, a indiqué lundi une ONG.

Les autorités iraniennes ont elles jusque-là donné un bilan de 41 morts incluant manifestants et forces de l’ordre. Elles ont aussi annoncé l’arrestation de plus de 1.200 manifestants.

Les protestations ont éclaté le 16 septembre après le décès à l’hôpital de la jeune Iranienne de 22 ans, Mahsa Amini, arrêtée trois jours auparavant pour non respect du code vestimentaire strict pour les femmes en République islamique d’Iran.

Elles sont les plus importantes depuis celles de novembre 2019, provoquées par la hausse des prix de l’essence en Iran, qui avaient été sévèrement réprimées (230 morts selon un bilan officiel, plus de 300 selon Amnesty International).

Selon l’ONG Iran Human Rights (IHR), basée à Oslo, “au moins 76 personnes ont été tuées dans les manifestations” dont “six femmes et quatre enfants”, dans 14 provinces du pays.

L’ONG a affirmé avoir obtenu des “vidéos et des certificats de décès confirmant des tirs à balles réelles sur des manifestants”.

Depuis le décès de Mahsa Amini, les Iraniens sont descendus chaque soir dans la rue.

“Le matin, ma femme conduit les enfants à l’école et moi j’ouvre mon magasin. Tout est calme”, a indiqué Mahmoud, 60 ans, sur la place Valiasr à Téhéran. “Mais dès que le soir tombe et que les manifestations commencent je suis obligé de fermer mon magasin.”

De nombreux policiers casqués et armés de bâtons prennent alors position pour tenter d’empêcher les rassemblements.

– “Femme, Vie, Liberté” –

Encore dimanche soir, les protestations ont eu lieu à Téhéran et dans plusieurs villes.

Dans le nord-ouest de la capitale, des manifestants, dont certains rassemblés sur des toits d’immeubles, lancent des slogans antigouvernementaux entrecoupés de “Femme, Vie et liberté”, a raconté Ali, un habitant.

Selon des images publiées par l’IHR, des manifestants à Téhéran ont crié “Mort au dictateur”, appelant à la chute du guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei.

La police anti-émeute a frappé des manifestants à coups de matraque et des étudiants ont déchiré de grandes photos du guide suprême et de son prédécesseur, l’imam Khomeiny, d’après de récentes vidéos publiées par l’AFP.

Elle a aussi tiré des plombs et à balles réelles sur les protestataires qui ont lancé des pierres, incendié des voitures de police et mis le feu à des bâtiments publics, selon des groupes de défense des droits humains.

D’autres images ont montré des femmes enlevant et incendiant leurs voiles ou se coupant symboliquement les cheveux, encouragées par la foule, dans plusieurs villes.

Outre les plus de 1.200 arrestations par les autorités -environ 450 dans la province de Mazandaran (nord) et plus de 700 dans la province voisine de Gilan-, le Comité pour la protection des journalistes a fait état lundi de l’arrestation de 20 journalistes iraniens depuis le 16 septembre.

L’Iran a imputé le mouvement de contestation à des “complots étrangers”, pointant du doigt les Etats-Unis, son ennemi juré.

Son chef de la diplomatie Hossein Amir-Abdollahian, a critiqué “l’approche interventionniste des Etats-Unis dans les affaires de l’Iran”, leur reprochant de soutenir “les émeutiers”.

– “Ecouter les demandes du peuple” –

Face à la répression, l’Union européenne a dénoncé l’usage “généralisé et disproportionné de la force”.

Le président américain Joe Biden a lui aussi dénoncé la répression des manifestations, se disant solidaire des “femmes courageuses d’Iran”.

Le Canada a décidé d’imposer des sanctions contre une dizaine de responsables iraniens et d’entités dont la police des moeurs.

Et Berlin a appelé l’Iran à “ne pas recourir à la violence” contre les manifestants.

Mais les autorités iraniennes restent fermes.

Samedi, le président conservateur Ebrahim Raïssi a appelé les forces de l’ordre à agir contre les manifestants, qualifiés “d’émeutiers”. Après lui, le chef du pouvoir judiciaire, Gholamhossein Mohseni Ejei, a exclu toute “indulgence” envers les instigateurs des “émeutes”.

Néanmoins, un important religieux conservateur et un ardent défenseur d’Ali Khamenei, le grand ayatollah Hossein Nouri Hamedani, a appelé les autorités à “écouter les demandes du peuple et à régler ses problèmes”.

NewsAmericasNow.com

Manifestations en Iran: plus de 75 morts en 10…

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

Plus de 75 personnes ont été tuées en Iran dans la répression des manifestations déclenchées il y a dix jours par la mort d’une jeune femme détenue par la police des moeurs, a indiqué lundi une ONG.

Les autorités iraniennes ont elles jusque-là donné un bilan de 41 morts incluant manifestants et forces de l’ordre. Elles ont aussi annoncé l’arrestation de plus de 1.200 manifestants.

Les protestations, qui ont repris lundi soir, ont éclaté le 16 septembre après le décès à l’hôpital de la jeune Iranienne de 22 ans, Mahsa Amini, arrêtée trois jours auparavant à Téhéran pour non respect du code vestimentaire strict pour les femmes en République islamique d’Iran.

Selon l’ONG Iran Human Rights (IHR), basée à Oslo, “au moins 76 personnes ont été tuées dans les manifestations” dont “six femmes et quatre enfants”, dans 14 provinces du pays. L’IHR a affirmé avoir obtenu des “vidéos et des certificats de décès confirmant des tirs à balles réelles sur des manifestants”.

Depuis le décès de Mahsa Amini, les Iraniens descendent chaque soir dans la rue à Téhéran et ailleurs dans le pays.

“Le matin, ma femme conduit les enfants à l’école et moi j’ouvre mon magasin. Tout est calme”, a indiqué Mahmoud, 60 ans, sur la place Valiasr à Téhéran. “Mais dès que le soir tombe et que les manifestations commencent je suis obligé de fermer mon magasin.”

De nombreux policiers casqués et armés de bâtons prennent alors position pour tenter d’empêcher les rassemblements.

Certains des manifestants rassemblés sur des toits d’immeubles lancent des slogans antigouvernementaux entrecoupés de “Femme, Vie et liberté”, a raconté Ali, un autre habitant de la capitale.

– Gaz lacrymogènes –

Lundi soir, les protestations ont repris avec les mêmes slogans de “Mort au dictateur” dans la capitale et dans d’autres villes, selon des témoins.

A Tabriz (nord-ouest), une vidéo diffusée par l’IHR a montré des policiers tirant du gaz lacrymogène contre les manifestants. Le bruit des tirs de balles y est en outre entendu.

Selon de récentes vidéos publiées par l’AFP, la police anti-émeute a, lors des protestations, frappé des manifestants à coups de matraque et des étudiants ont déchiré de grandes photos du guide suprême Ali Khamenei et de son prédécesseur, l’imam Khomeiny.

Et d’après des groupes de défense des droits humains, elle a aussi tiré des plombs et à balles réelles sur les protestataires qui ont lancé des pierres, incendié des voitures de police et mis le feu à des bâtiments publics,

D’autres images ont montré des femmes enlevant et incendiant leurs voiles ou se coupant symboliquement les cheveux, encouragées par la foule, dans plusieurs villes.

Outre les plus de 1.200 arrestations par les autorités, le Comité pour la protection des journalistes a fait état lundi de l’arrestation de 20 journalistes iraniens depuis le 16 septembre.

L’Iran a imputé le mouvement de contestation à des “complots étrangers”, pointant du doigt les Etats-Unis, son ennemi juré.

Son chef de la diplomatie Hossein Amir-Abdollahian a critiqué “l’approche interventionniste des Etats-Unis dans les affaires de l’Iran”, leur reprochant de soutenir “les émeutiers”.

– Sanctions –

Face à la répression, l’Union européenne a dénoncé l’usage “généralisé et disproportionné de la force”.

Le président américain Joe Biden a lui aussi dénoncé la répression des manifestations, se disant solidaire des “femmes courageuses d’Iran”.

Le Canada a décidé d’imposer des sanctions contre une dizaine de responsables iraniens et d’entités dont la police des moeurs.

Et Berlin a appelé l’Iran à “ne pas recourir à la violence” contre les manifestants.

Mais les autorités iraniennes restent fermes.

Samedi, le président conservateur Ebrahim Raïssi a appelé les forces de l’ordre à agir contre les manifestants, qualifiés “d’émeutiers”. Après lui, le chef du pouvoir judiciaire, Gholamhossein Mohseni Ejei, a exclu toute “indulgence” envers les instigateurs des “émeutes”.

Néanmoins, un important religieux conservateur et un ardent défenseur d’Ali Khamenei, le grand ayatollah Hossein Nouri Hamedani, a appelé les autorités à “écouter les demandes du peuple et à régler ses problèmes”.

Les protestations sont les plus importantes depuis celles de novembre 2019, provoquées par la hausse des prix de l’essence en Iran, qui avaient été sévèrement réprimées (230 morts selon un bilan officiel, plus de 300 selon Amnesty International).

NewsAmericasNow.com

La tempête Elsa provoque la mort de trois personnes et touche Cuba, Trois décès ont été signalés en République Dominicaine et à Sainte-Lucie alors qu’Elsa s’affaiblit en une tempête tropicale. Ce lundi 5 juillet, en début d’après-midi, elle se situe sur Cuba et devrait passer sur la Havane puis continuer sa route ensuite vers la Floride.

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Guadeloupe FranceAntilles

Rédaction web
Lundi 5 Juillet 2021 – 13h05

Elsa s’est affaibli en une tempête tropicale et passe sur Cuba lundi 5 juillet en début d’après-midi – Windy.com

Trois décès ont été signalés en République Dominicaine et à Sainte-Lucie alors qu’Elsa s’affaiblit en une tempête tropicale. Ce lundi 5 juillet, en début d’après-midi, elle se situe sur Cuba et devrait passer sur la Havane puis continuer sa route ensuite vers la Floride.

Un garçon de 15 ans et une femme de 75 ans sont morts samedi dans des événements séparés en République Dominicaine après que des murs se soient effondrés sur eux, tandis qu’un troisième décès a également été signalé à Sainte-Lucie.

Le National Hurricane Center (NHC) a maintenant rétrogradé Elsa en tempête tropicale, du fait de son affaiblissement qui a été le premier ouragan de la saison atlantique.Elsa frappe actuellement Cuba, devrait passer en son centre sur la Havane pour continuer ensuite sur un chemin qui la mènerait en  Floride, en remontant probablement le long de la côte atlantique.

À Cuba, on tente de se préparer à de fortes pluies et à des inondations en pleine recrudescence de cas de contamination au coronavirus.

NewsAmericasNow.com

2022 Census to set new Digicel LTE data usage record Loop Jamaica

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Jamaica News Loop News

Using almost 4,000 tablets to capture census data across Jamaica, the 2022 National Population and Housing Census will consume a staggering 200 terabytes (TB) of data over the next five months.

The figure sets a new record for total mobile data consumption for a single public or private sector project. To put the figure into perspective, 200TB of data is the equivalent of 60,000 hours of music streaming or sending 2.5 million emails.

To make it happen, Digicel, the official telecommunication partner to the Statistical Institute of Jamaica, (STATIN), is throwing the everyday power of its award-winning LTE network to support the data collection drive now underway in several parts of the country.

“With all our major investments in delivering the best LTE network experience, our Digicel Business team continues to work around-the-clock to support our customers and partners’ needs, including STATIN, whose census enumerators are out there in the field, able to upload and download files at the fastest speeds,” commented Head of Public Relations for Digicel, Elon Parkinson.

For the first time, population data is being collected using tablets, securely connected to the Digicel network. With 99 per cent LTE data coverage, Census-takers are able to conduct surveys in real-time and instantly update the population database, making the process more efficient and inclusive.

Digicel sees the digitalising of the process as a major step towards creating a digitally connected society. With this in mind, Parkinson underscored the importance of the exercise that will help public and private stakeholders to understand and cater to the changing needs of Jamaica’s population.

He added, “All Jamaicans deserve to feel included, this is why we encourage participate because, yuh count, me count, all a wi count!”

To further support the national effort, Digicel is also providing text-messaging support to let everyone know about Census 2022, including links to additional information.

Director General of STATIN, Carol Coy, shared, “We welcome partnership with private sector entities, including Digicel, in the execution of the 2022 Population and Housing Census. This partnership with Digicel aids in effective communication in the promotion and administration of this national exercise. I look forward to Digicel’s steady and valuable support as we seek to reach and engage persons in every nook and cranny of Jamaica.”

NewsAmericasNow.com

DJ Akademiks Apologize To Reginae Carter, T.I. And Toya Johnson Speak Out

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Urban Islandz

DJ Akademiks apologize to Reginae Carter for calling her a b**** after T.I. and Toya Johnson called him out.

DJ Akademiks stepped on a lot of toes, but he has hardly been checked seriously until now after he made disparaging comments about Lil Wayne’s daughter Reginae Carter in a rant on his podcast. In a sit down with Charlamagne Tha God and DJ Envy on The Breakfast Club, AK apologize for calling her the “B” word but says he is not apologizing for using the word as a whole because rappers are constantly using it.

Akademiks is known for his controversial actions that are often directed towards women. Some of his most disgusting moments, which he tries to spin as being controversial, have been directed at the likes of Megan Thee Stallion, Ari Fletcher, Cardi B, and even Nicki Minaj.

While many of those personalities have ignored DJ Akademiks, it seems that his obsession with women’s business has crossed the line as rapper T.I. and Reginae Carter’s mother Toya Johnson make it clear that he was out of pocket for his comments on Reginae’s past and present relationships.

Over the weekend, a clip from his podcast had the rapper incorporating funny voices while speaking about Reginae and her new relationship.

“Reginae loved hood n***gas, she love YFN Lucci, that was her n***a. Everything was all good with them until she realised n****ga caught a RICO, she seen that murder charge on it, I’ve never seen a chick quickly, Reginae is seeing someone name Armon, I don’t even know who that n****a is, She even downgraded like… she don’t even like thugs anymore,” he said in a clip.

“She got with a n***a who look more feminine than her…she got with a n****a who is like the opposite of gangster, who she can do guessing games,” he said before adding, “You know these b*tches– let me not call her a b*tch. These chicks love a hood n*gga until he’s facing 25 to life,” he said.

Reginae’s mother and businesswoman, Toya Wright Johnson, who is also the ex-wife of Young Money rapper Lil Wayne called out Akademiks for disrespecting her daughter.

“Keep my daughter name out your mouth,” Toya said. Clout chasing is at an all time high. Let her live her 23 yr old life.”

Johnson also addressed him, calling the young lady out of her name. Reginae’s uncle T.I. also called out Akademiks for the remark.

“I would love to have a work with Akademiks, I got to put a call out to him. Hopefully, we can communicate our way through a positive resolution. But Reginae under the umbrella, she covered. I would love to have a word to see if we cn communicate ourselves to a position resolution cause certain sh*t is avoidable, it’s not worth the trouble,” T.I said in a video.

He also shared a caption for the video, making it clear that his niece was not to be played with. The rapper says he has been trying to reach Akademiks by phone and text but has been unsuccessful.

“[Akademiks] Please find the time to Get wit me … I’d love to chat about the remarks you made about my niece. @itsreginaecarter Let’s exchange perspectives…man to man & see if you depart with the same conclusion. She was raised by a village who loves and protects her wit all our physical and spiritual abilities… She is MY business. Hence why I’d love to handle the matter privately (which is why I been calling & txtn’trying to speak with you)… Looking forward to the opportunity to get together SOON. Thx in advance.”

Akademiks has not responded to T.I. or Toya Johnson.

NewsAmericasNow.com

JMMB to launch remittance card, scan-to-pay options Loop Jamaica

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Jamaica News Loop News

The JMMB Group has announced the roll-out of new payment solutions, including a remittance prepaid card for individuals, and point-of-sale and scan-to-pay payment options for SMEs.

The new products are in keeping with JMMB’s digitization thrust to enhance the client experience by providing an omnichannel experience and improving operational efficiency.

According to the general manager of digital services at JMMB Group, Gifford Rankine, the pandemic has accelerated the acceptance of digital channels. As such, JMMB Group is seeking to better serve its clients by responding to their changing needs, preferences, and the changes across the industry.

“Will that mean that we will be closing all our branches? Most certainly not. Instead, we are looking to serve our clients where they are with our digital offerings,” he told the company’s annual general meeting last Thursday.

In the meantime, a select group of SME clients are piloting the new point-of-sale terminals and its scan-to-pay payment solution. JMMB said it would fully roll out the product soon.

“These payment solutions will allow especially smaller businesses to enable merchants to accept credit/debit card payments using various methods and provide their clients with easier and more convenient ways of making payments in the market,” Rankine said.

JMMB Group CEO Keith Duncan outlined that the payment systems (point-of-sales, mobile point-of-sales) and the corporate Moneyline are important to JMMB’s revenue streams but importantly to meeting the needs of it clients.

“We want to be able to facilitate the growth of our clients in the same way that JMMB Group has seen its growth over its 30 years from a single establishment to regional presence),” Duncan said.

In speaking about the deepening of its diversification strategy, Duncan revealed that JMMB continues to explore inorganic growth across the region to bolster and expand its current business lines.

For instance, JMMB, through its subsidiary in Trinidad and Tobago, JMMB Express Finance (T&T) Limited , is in the process of making a minority stake investment of 19.9 per cent ownership in Bayshore Finance (T&T) Limited (Bayshore).

Bayshore provides insurance premium financing solutions to retail and corporate customers in the twin-island republic.

JMMB said this acquisition of a minority stake in Bayshore is a strong strategic fit and is expected to allow JMMB Group to participate in the future growth of a solid and innovative company unlocking opportunities for increased market penetration and accretive synergies.

This transaction is subject to receiving relevant regulatory approvals from the Central Bank of Trinidad and Tobago (CBTT).

Earlier in August, JMMB Holding Company, SRI and its parent JMMB Group Limited announced that it had received final regulatory approval for the purchase of 100 per cent of the shares in Banco M?ltiple Bell Bank, S.A. in the Dominican Republic.

In sharing further diversification plans, Duncan noted that JMMB Group is also seeking to deepen business line diversification capitalizing on the growth potential in the commercial real estate market.

JMMB is making an initial investment of J$5 billion in the development of commercial, warehousing and business process outsourcing (BPO) projects.

Currently, JMMB Group is constructing over 160,000 square feet of real estate in downtown Kingston, Mandeville and Liguanea, which is expected to house its corporate offices and other operations.

NewsAmericasNow.com

Budget snippet: Phoenix Park investment to expand

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Trinidad and Tobago Newsday

News

In this March 9 file photo, construction is ungoing at Phoenix Park Industrial Estate. – Photo by Angelo Marcelle

More than 70 lots are due to be rolled out at Phoenix Park Industrial Park in 2023, the Finance Minister, Colm Imbert, has announced.

In an update on the park in his budget presentation, Imbert said 78 lots and five factory shells are to be released in 2023. He said 11 investors are on board and negotiations are ongoing for nine more.

He said a fourth Chinese investor is among them. Plans for the park include a bonded trade and investment centre, and displays for up to 500 manufacturers.

An estimated $688 million was allocated for the park, which is under the management of Evolving Technologies Ltd. It is being built by Beijing Construction Engineering Group.

NewsAmericasNow.com