Un webinaire autour du parcours cancer en Martinique ce jeudi

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Rédaction web

Médecin et patient • SHUTTERSTOCK (C)

Dans le but d’ouvrir la discussion sur le parcours cancer, un webinaire sur le sujet sera organisé par le Conseil Territorial de Santé de Martinique ce jeudi 17 novembre à 18 heures. Des acteurs du secteur de la santé répondront aux questions.

Sujet d’actualité en ce mois de lutte contre le cancer de la prostate, le parcours du cancer à la Martinique sera présenté et abordé lors d’un webinaire organisé par le Conseil Territorial de Santé de Martinique ce jeudi 17 novembre à 18 heures. L’évènement en sera à sa troisième édition et cette dernière portera sur les trois étapes du parcours : le dépistage, le diagnostic et l’annonce. Le webinaire se déroulera en ligne et est gratuit et ouvert à tous. Les personnes souhaitant y participer sont invitées à s’inscrire sur le site eventbrite.fr ou au 0596 63 82 62.

Des invités répondront à l’appel : Agence Régionale de Santé, professionnels de santé spécialistes en cancérologie et libéraux accompagnant les patients et leur entourage au quotidien, ainsi que d’autres acteurs du parcours cancer apporteront leur expertise aux participants dans l’intention d’ouvrir la discussion et d’étendre les connaissances des martiniquais sur ces étapes du parcours cancer, spécifiquement sur le territoire.

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Situation “critique” en Ukraine après de nouvelles frappes russes massives

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Kiev et d’autres villes ukrainiennes ont été touchées mardi par de nouvelles frappes russes massives – environ cent missiles – contre les réseaux énergétiques qui ont rendu la situation “critique”…

Kiev et d’autres villes ukrainiennes ont été touchées mardi par de nouvelles frappes russes massives – environ cent missiles – contre les réseaux énergétiques qui ont rendu la situation “critique” et fait au moins un mort.

Ces frappes sont survenues quelques jours après une humiliante retraite des forces russes dans le sud du pays et en plein sommet du G20 en Indonésie.

“Les terroristes russes ont mené une nouvelle attaque planifiée contre des infrastructures énergétiques. La situation est critique”, a indiqué sur Telegram le chef adjoint de la présidence, Kyrylo Tymochenko. 

A Kiev, où deux immeubles résidentiels ont été touchés, “les secours ont retrouvé le corps d’une personne décédée”, et les opérations de secours étaient toujours en cours, a indiqué de son côté le maire de la capitale Vitaly Klitschko.

“Dans la capitale, au moins la moitié des (habitants) sont sans électricité”, a-t-il indiqué sur Telegram. L’opérateur national “a déclenché des coupures de courant d’urgence dans toute l’Ukraine”, notamment à Kiev, “pour équilibrer le réseau”, a-t-il ajouté.

Les sirènes d’alerte de la défense antiaérienne avaient retenti dans toute l’Ukraine peu avant 15H30 (13H30 GMT). Quelques minutes plus tard, des explosions étaient entendues notamment à Kiev, Lviv (ouest) et Kharkiv (nord-est).

“Environ cent missiles ont été tirés (…) depuis la mer Caspienne, la région (russe) de Rostov”, et aussi “depuis la mer Noire”, a indiqué Iouri Ignat, un porte-parole de l’armée de l’air ukrainienne, à la télévision..

“Plusieurs missiles ont été abattus par la défense aérienne” au-dessus de la capitale, a indiqué le maire de Kiev.

Immeuble en flammes

Un responsable de l’administration présidentielle ukrainienne a publié une vidéo montrant un immeuble de cinq étages en flammes.

D’autres villes ont été visées ailleurs dans le pays.

Dans le nord-est, “attaque au missile contre le district d’Industrialniï à Kharkiv”, a indiqué sur Telegram Igor Terekhov, maire de la deuxième ville d’Ukraine. Et dans l’ouest, “des explosions se font entendre à Lviv. Restez tous à l’abri !”, a exhorté sur Telegram son homologue de Lviv, Andriï Sadovy, qui a précisé qu’”une partie de la ville (était) sans électricité” et que le métro était à l’arrêt.

A Rivné (ouest), le maire, Oleksandre Tretyak a rapporté sur les réseaux sociaux “une frappe sur un site essentiel”, sans donner plus de détails. “La ville est en partie sans électricité”, a-t-il déploré.

Même situation dans la ville de Krementchouk, dans le centre de l’Ukraine, où la mairie a déploré “une frappe sur une infrastructure critique près de (la ville)”.

Khmelnytskiï, dans le centre, a aussi été touché par “deux frappes”, a annoncé le gouverneur régional, Serguï Gamaliï.

Les précédentes frappes ayant visé la capitale ukrainienne remontaient aux 10 et 17 octobre, et avaient avant tout visé, comme ailleurs dans le pays, les infrastructures énergétiques ukrainiennes, afin de priver la population d’électricité à l’approche de l’hiver.

Ces frappes ont visé Kiev quatre jours après l’humiliant retrait des forces russes d’une partie de la région de Kherson, dont la ville du même nom, dans le sud, après près de neuf mois d’occupation. 

Nouveau repli russe

Le Kremlin a du s’y résoudre du fait d’une contre-offensive ukrainienne galvanisée par les armes livrées par les Occidentaux. Il avait déjà dû se replier du nord du pays au printemps, puis du nord-est en septembre.

Signe des difficultés des Russes sur le terrain, les autorités d’occupation dans la région de Kherson, dont Moscou revendique l’annexion, ont dû abandonner une nouvelle ville, Nova Kakhovka. 

Cette ville est située sur la rive gauche (orientale) du Dniepr, où les forces russes s’étaient repliées la semaine dernière faute de pouvoir tenir la rive droite (occidentale). 

L’administration d’occupation russe n’indique pas cependant si l’armée russe reste déployée dans la cité ou si elle se replie également. 

Après le retrait russe le 11 novembre de la rive droite du Dniepr, “Nova Kakhovka s’est retrouvé sous le feu direct de l’artillerie lourde et des mortiers des forces armées ukrainiennes”, a déclaré l’administration d’occupation. 

“La vie dans la ville est devenue dangereuse”, a-t-elle ajouté, affirmant que des “milliers” d’habitants l’avaient quittée.

Cette ville est située à proximité du barrage hydroélectrique de Kakhovka, pris par les Russes au début de leur offensive contre l’Ukraine fin février.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a par le passé accusé les forces de Moscou d’avoir “miné” le barrage et les unités de la centrale, ajoutant que si l’ouvrage explosait, “plus de 80 localités” seraient inondées.

Selon Kiev, une destruction de cette infrastructure aurait aussi un impact sur l’approvisionnement en eau de tout le sud de l’Ukraine et pourrait affecter le refroidissement des réacteurs de la centrale nucléaire de Zaporijjia.

Intransigeance de Moscou au G20

Sur le front diplomatique, les dirigeants de nombreux pays du G20, qui réunit les plus grandes puissances économiques de la planète, ont tenté d’accentuer la pression sur la Russie pour qu’elle mette fin à sa guerre.

Mais Moscou, qui y avait dépêché son chef de la diplomatie Sergueï Lavrov en Indonésie, le président russe Vladimir Poutine n’ayant pas voulu faire le déplacement, n’a donné aucun signe de vouloir cesser ses attaques. 

Le ministre russe a accusé l’Ukraine d’empêcher la tenue de négociations de paix en réclamant que les troupes russes quittent au préalable son territoire. 

“Tous les problèmes proviennent de la partie ukrainienne qui refuse catégoriquement des négociations et avance des revendications manifestement irréalistes”, a-t-il déploré.

M. Lavrov a quitté le sommet dès mardi, “comme prévu” selon l’agence de presse publique russe Ria Novosti, laissant la place au ministre des Finances Anton Silouanov.

bur/lpt/pa

Un missile Ouragan russe non explosé dans la région de Kherson (sud de l’Ukraine), le 14 novembre 2022
• Anatolii Stepanov

Ukraine: ambulances sur le site d’une frappe de missile sur un immeuble résidentiel de Kiev
• Jonathan KLEIN

Carte de la situation en Ukraine au 15 novembre à 15h GMT
• Simon MALFATTO

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Concert de Kassav en 2019 en Guadeloupe : 8 mois de prison avec sursis pour Pierre-Edouard Décimus et Rudy Roland Vardarassin

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Rédaction web

Tribunal de Pointe-à-Pitre • DR

Ce mardi (15 novembre), Pierre-Edouard Décimus, et Rudy Roland Vardarassin ont été condamnés par le tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre, à la suite des poursuites menées pour des irrégularités financières lors des 40 ans du concert de Kassav. 8 mois de prison avec sursis et des amendes ont été prononcés contre les deux hommes.

Ce mardi matin, le tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre a rendu son délibéré dans l’affaire du concert de Kassav à Baie-Mahault en fin 2019.

Poursuivis pour abus de confiance et prise illégale d’intérêt par chargé de service public, Pierre-Edouard Décimus et Rudy Roland Vardarassin, directeur des opérations spéciales à Cap Excellence ont été respectivement condamnés à 8 mois de prison avec sursis et 15 000 euros d’amende et 8 mois de prison également avec sursis et 7500 euros d’amende.

 

Des sommes supérieures à 100 000 euros auraient transité sur des comptes personnels. 

Des irrégularités présumées liées au versement de subventions avaient été soulevées par la Chambre Régionale des Comptes avec la saisie de la brigade financière.

Les hommes entendus, Pierre-Edouard Décimus, un des fondateurs mythique du groupe de zouk, et le directeur des grands événements et opérations spéciales à Cap Excellence, Rudy Roland Vardarassin, avaient été placés en garde à vue en juin 2021. 

La Chambre Régionale des Comptes avait saisi le parquet en dénonçant un manque de transparence sur la comptabilité, avec des incertitudes sur l’usage des fonds, et surtout des retraits en espèces et des virements du compte bancaire de l’association, vers ceux de Pierre-Edouard Décimus et Rudy Roland Vardarassin, sans justificatif.

Les prévenus peuvent encore faire appel de la décision rendue ce jour.

 

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Travel in Threes: Ah Stacious…in Belize, Antigua, and Israel Loop Jamaica

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Kadeem Rodgers

60 minutes ago

Travel In Threes with Stacious

NEWYou can now listen to Loop News articles!

Dancehall recording artiste Stacious has toured several cities in the Caribbean and the North Americas.

Recently, during a What’s Up interview with Loop News, the singjay – who is also a radio host, entrepreneur, and the Jamaica Festival Song Competition 2021 title-holder – broke for a minute to share her top three travel experiences.

In chronological order from her least to greatest, Stacious listed Antigua – which was “a little bit different from the Jamaican experience” – Belize, and Jerusalem as her top three.

Fun Fact: The Jamaican Spirit singer recounted a “backward hill” in Belize among the attractions she witnessed in the country, and though she did not go into detail about the renowned “Magnetic Hill”, also known as Gravity Hill, we did some digging.

According to Pomona and The North Stann Creek Valley, the mysterious happenings on the hill defeats the laws of physics, noting that people have speculated that a magnetic force under the tarmac “pulls metal objects in another direction”.

Pretty interesting stuff, and quite unique to “a few known places” in the world.

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The flights, being offered

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Letter: The ‘bloated’ list: a misnomer explored

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Attorney General and Minister of Legal Affairs Anil Nandlall

Dear Editor,

Last Tuesday at his press conference, Mr Aubrey Norton finally exposed the folly of his bloated list complaint. Since his assumption of Office as Leader of the Opposition, Mr Norton has made the voters’ list one of the focal points of his political advocacy. He has called for its retirement on the ground that it is “bloated” and for it to be replaced after a House-to-House Registration process.

In so doing, he completely ignored the constitutional and legal principles which are inextricably attendant to the voters’ list and how it is populated. That is, by virtue of Articles 59 and 159 of the Constitution, Guyanese are qualified to be registered on that list once they are 18 years and over; and that upon registration, are qualified to vote.

Likewise, Guyanese can only be removed from the list if they become disqualified and that the grounds of disqualification are explicitly set out in Article 159 of the Constitution. Mr Norton obdurately refuses to recognise that the identical course of action for which he espouses was attempted by the Guyana Elections Commission (GECOM) under the stewardship of the unconstitutionally appointed James Patterson in 2019.

It would be recalled that this process launched by GECOM was challenged in the High Court which culminated in a written judgement delivered by Chief Justice Roxane George, CCH, SC, who admonished thus:

‘‘In order for the names of persons already registered to be removed from the list of electors, they would have to be deceased or otherwise become disqualified but failure of registered persons to be present or resident during the house-to-house exercise would not be such a disqualifier and such a person’s name can only be deleted if they no longer meet the qualifying criteria under Article 152 (9) or become disqualified under Article 159 (3) and (4).’’

Although these legal authorities have been proffered to Mr Norton and the APNU/AFC with painful regularity by GECOM, the Government and the Press, Mr Norton clings to his blinkered position. However last Tuesday at his press conference, presumably, reeling from a rebuke from the local press association, Mr Norton made certain crucial disclosures. For the first time he offered to the public an insight to enable an understanding of what he considers to be ‘bloat’ on the list. He disclosed that the bloat to which he refers consists of Guyanese who were granted immigrant and non-immigrant visas. He alleged that statistics from the United States of America, Homeland Security Department suggests that two hundred and fifty thousand Guyanese were issued with non-immigrant visas and two hundred thousand Guyanese were issued with immigrant visas.

It appears that Mr Norton’s contention is that these persons and every other Guyanese who are either residing overseas or are travelling abroad and who are on the list, constitute bloat on that list and should be removed – a notoriously flawed proposition from every conceivable perspective!

The legal truth is that these persons, once Guyanese and are eighteen years and over, are lawfully on that list and cannot be removed therefrom unless they become disqualified. Neither their travelling overseas, nor their residency in another jurisdiction, either temporarily or permanently, constitute a disqualification under the Constitution. In fact, the Chief Justice in her ruling, stated that if they were to be removed because of their non-residency in Guyana such a removal would be unlawful and unconstitutional. So last Tuesday, Mr Norton finally conceded, either wittingly or unwittingly, that what he is considering as ‘bloat’ on the list are Guyanese whose names are on that list in accordance with and by virtue of the supreme law of Guyana, the Constitution. His bloated list argument therefore, is completely without merit.

Perhaps recognising the folly of his own argument, when braced with questions from a reporter that he could not intelligently answer, he then disclosed that he is prepared to work with the PPP to amend the ‘’Constitution and the law.’’ This disclosure raises its own peculiar problems. Firstly, it is clear that Mr Norton would like to disenfranchise tens of thousands of Guyanese. These persons may not be permanent residents overseas, they may be vacationing, working, be overseas for medical or business reasons, or may simply be awaiting to have their immigration status regularised; some may be enjoying dual residence both in Guyana and overseas or they may be permanently overseas. To determine this ‘residence’ issue alone will become a legal nightmare.

However, that apart, is denying any segment of the citizenry of Guyana, their most cherished democratic right, the right to vote, a measure for which we should advocate? It must be emphasised that these persons may only qualify to vote in Guyana and no other jurisdiction as they are Guyanese and may not necessarily have acquired another nationality. Should they be denied that crucial democratic right to vote, in the land of their birth? No doubt these persons would include thousands of supporters of Mr Norton’s party. Importantly, has he explained this to them? In this regard, the dictum of Justice Hamilton in the American case of Greidlinger v Davis (1993) rings aloud:

’’It is axiomatic that no right is more precious in a free country than that of having a voice in the election of those who make laws under which, as good citizens, we must live. Other rights, even the most basic, are illusory if the right to vote is undermined.’’Worse yet, Mr Norton by his own disclosures, is prepared to deny these Guyanese of their right to vote without even consulting them. For he says that he is prepared to work with the PPP to achieve this objective.

Having regard to the fact that he wants to achieve this objective before Local Government Elections, it is clear that public consultation is not within his contemplation. So in breach of all of his party’s manifesto promises of engaging in constitutional reforms by way of public consultation, Mr Norton is prepared to amend the Constitution by an agreement with the PPP, without public consultation. The Constitution as we all know is a pact between the State and the citizenry. This Opposition Leader wishes to alter that pact without consulting the other side, the people. But no one should be surprised. This is how the authoritarian operates.

Yesterday, the Alliance for Change (AFC), a party now reduced to a few leaders with even fewer followers, has indicated that it will not contest the Local Government Elections. No one should be surprised by this disclosure. Were they to contest, it is most unlikely that they would have won a seat in any Neighbourhood Democratic Council (NDC) or municipality. It is the fear of this horrendous reality that has informed their decision. Noting else. To save face however, they have opportunistically latched on to the discredited bloated list argument peddled by their larger coalition partner.

In a press statement they rehashed the selfsame frivolous and vexatious contentions advanced by APNU in respect of the voters’ list. What I have stated above applies to these arguments, mutatis mutandis. They also resorted to the repetition of their irrational and ridiculous allegations of electoral irregularities in respect of the 2020 Regional and General Elections. It is apposite that I remind that the Caricom Team of Observers which they appointed to oversee the recount, found those very allegations to be fanciful, incredible, and incredulous. In similar vein, the coalition were unable to lead evidence to prove these allegations in two elections petition which they filed in the High Court. One recently suffered a natural death at the Caribbean Court of Justice (CCJ) and the other one is on its way.

In conclusion, I must reiterate like every country that has implemented the system of continuous registration, our system provides mechanisms to remove disqualified persons from the list at periodic intervals. The Claims and Objections mechanism is just one. The new amendments to the Representation of the People Act and the National Registration Act, will not only improve the existing mechanisms but will add new ones.

Sincerely,Mohabir Anil Nandlall, SC, MPAttorney General & Minister of Legal Affairs

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Hooper added as Assistant Coach of Adelaide Strikers

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Carl Hooper

Former West Indies captain Carl Hooper will add his vast cricketing knowledge and experience to the Adelaide Strikers as an Assistant Coach for KFC BBL12.

“I’ve supported the Strikers quite closely since the inception of the BBL and can see plenty of promise in the current list,” Hooper said.

“I’m looking forward to working with Dizzy (Jason Gillespie) and put a few new ideas forward from my own experiences in the game and to bring the best out of the players.

“I can’t wait to get started.”

Head Coach Jason Gillespie is confident Hooper would be a great asset for the Strikers this season.

“Carl has a wealth of experience from a playing and coaching perspective both here and across the globe,” Gillespie said.

“He has a fantastic ability to connect with people and always has the players’ best interests at heart.”

“I know he’ll be a worthy addition to our coaching panel.”

The Strikers first home game of BBL

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Barbados opens honorary consulate in Rwanda Loop Barbados

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Prime Minister Mia Amor Mottley recently opened the Honorary Consulate of Barbados in Kigali, Rwanda, signalling another major step in diplomatic relations between the two countries.

“In a very real sense, we are breaking new ground. It would be difficult for people to believe that our relationship only really started with vigour from April of this year. It has been a sprint,” Prime Minister Mottley said during the opening of the diplomatic mission.

“But we are conscious we don’t want a sprint; we want a marathon. This establishment of this Honorary Consulate is an indication of our desire for that long relationship,” she added.

Mottley further stated: “Our limits are not constrained by the size of our country, nor by the limit of what we have economically produced thus far. But we believe we can be a difference to your continent, to our region and to the world.”

Meanwhile, Honorary Consul Emery Rubagenga noted that, as the opening came following days of meetings between the Rwanda Development Board and Invest Barbados, there was a real interest to connect both countries in the areas of business and economic diplomacy.

Prime Minister Mottley, had earlier that day paid a courtesy call on the President of Rwanda, Paul Kagme at his office residence, Village Urugwiro and then the Kigali Genocide Memorial.

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COMMENTAAR: Gokhuizen

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SURINAME HEEFT BETREKKELIJK veel casino’s. Die zijn voor het publiek overzichtelijk zichtbaar. Dat kan niet worden gezegd van het aantal

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Travail au Qatar: le vigile lanceur d’alerte s’inquiète de l’après-Mondial

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Malcolm Bidali, l’agent de sécurité kényan qui a dénoncé les conditions de travail au Qatar avant la Coupe du monde de football (20 novembre-18 décembre), s’inquiète de la situation “quand les caméras…

Malcolm Bidali, l’agent de sécurité kényan qui a dénoncé les conditions de travail au Qatar avant la Coupe du monde de football (20 novembre-18 décembre), s’inquiète de la situation “quand les caméras, les journalistes et les fans seront partis”.

“Il ne restera plus que les travailleurs et leurs employeurs et ce sera encore plus dur de faire respecter les lois existantes”, a-t-il estimé dans un entretien accordé à l’AFP, ajoutant qu’il “espère (se) tromper”.

Sous le feu des critiques depuis qu’il a été désigné en décembre 2010 hôte du Mondial-2022, le Qatar a entrepris en 2018 d’importantes réformes de sa législation sur le travail, démantelant son système de parrainage des travailleurs migrants ou encore instaurant un salaire minimum d’environ 270 euros.

L’Organisation internationale du travail (OIT) et les fédérations syndicales internationales qui ont négocié ces réformes saluent les progrès réalisés mais pointent encore des failles dans leur mise en oeuvre. Le Qatar, lui, assure vouloir poursuivre dans cette direction, grâce notamment à l’installation permanente de l’OIT sur son sol.

Après avoir été emprisonné pendant quatre semaines dans l’émirat puis expulsé en 2021, Bidali, qui est devenu militant à plein temps pour les droits des travailleurs migrants, regardera-t-il le Mondial-2022 ? 

“C’est une question ambivalente”, répond l’homme de 30 ans. “Dire que je ne regarderai pas serait un mensonge mais, en voyant les stades, je ne pourrai m’empêcher de me demander combien de personnes n’ont pas été payées, combien ont subi des conditions de travail déplorables, combien sont mortes.”

“Garder la tête basse”

Retour en janvier 2016: Malcolm Bidali arrive au Qatar. 

Douze heures par jour, six jours par semaine, il observe des écrans de vidéosurveillance. Résidant dans une villa avec plusieurs autres travailleurs et touchant “1.500 riyals qataris (environ 420 euros) par mois”, il ne se plaint pas. C’est, dit-il, “beaucoup mieux que les conditions au Kenya.”

La situation se dégrade à partir de septembre 2018, quand il est recruté par une deuxième entreprise pour “1.250 riyals qataris par mois” (soit 350 euros). “Nous vivions dans une toute petite pièce de moins de 20 mètres carrés, à six, sur des lits superposés infestés de punaises, et sans aucun verrou à la porte, donc aucune vie privée”, raconte-t-il. 

“Au début, je ne disais rien car il fallait garder la tête basse”, poursuit M. Bidali, qui s’est endetté à hauteur de 1.200 dollars auprès d’une agence de recrutement kényane pour émigrer. 

Il finit par envoyer des courriers électroniques aux autorités “mais rien ne s’est passé”, affirme-il.

L’agent de sécurité est approché par Migrant-Rights.org, une ONG spécialisée. En 2020, il se met à dénoncer, sous le pseudonyme de “Noah”, les violations du Code du travail et la xénophobie. 

“Les conditions de travail au Qatar sont similaires à de l’esclavage dans le sens où quelqu’un te possède, te dit à quelle heure te lever, te coucher, quelle nourriture manger, où tu vis”, relate “Noah”.

“Désinformation”

Le 4 mai 2021, il est interpellé et conduit dans les locaux de l’agence chargée de la sécurité nationale, sans avocat, déclare-t-il. 

“Je ne savais même pas pourquoi j’avais été arrêté”, soutient l’agent de sécurité, qui va rester en détention pendant 28 jours, soumis, selon lui, à des “pressions psychologiques”.

Le Qatar lui reproche d’avoir reçu de l’argent de la part d’un “agent étranger” pour se livrer à de la “désinformation”.

Libéré après des protestations de la part d’ONG et du syndicat des footballeurs professionnels Fifpro, il a interdiction de quitter le territoire pendant deux mois. 

Grâce à ses soutiens internationaux et diplomatiques, “Noah” est finalement expulsé mi-août après avoir écopé d’une amende d’un peu plus de 6.000 euros, selon ses dires.

Sollicitées par l’AFP, les autorités qataries n’ont pas souhaité revenir sur cet épisode. Fin mai 2021, elles avaient assuré que l’agent de sécurité bénéficiait “de conseils juridiques et d’une représentation”.

dyg-bur/ng/hpa

Malcolm Bidali s’entretient avec l’AFP à Nairobi, le 17 octobre 2022
• Simon MAINA

Malcolm Bidali s’entretient avec l’AFP à Nairobi, le 17 octobre 2022
• Simon MAINA

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Des discussions en cours pour maintenir la baisse des prix des carburants

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Alors que la remise du gouvernement sur les prix des carburants passe de 25 à 8,33 centimes à partir de ce mercredi 16 novembre, le ministre délégué chargé des Outre-mer, Jean-François Carenco, affirme se battre actuellement pour maintenir la baisse des tarifs des carburants. 

En raison de la baisse de la remise du gouvernement, les prix réglementés des carburants sont censés réaugmenter à partir de ce mercredi 16 novembre, sauf pour la bouteille de gaz. La remise de 25 centimes du gouvernement était valable du 1er septembre jusqu’au 15 novembre inclus. Elle passe à 8,33 centimes, à partir de ce mercredi jusqu’au 31 décembre 2022 dans les Outre-mer, comme dans l’Hexagone. 

 

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Carburants : Gazole et sans plomb repartent à la hausse en novembre

 

Les évolutions de ce mois-ci sont liés à plusieurs éléments : la hausse des cours du pétrole brut de 2,7% à cause de l’escalade de la guerre en Ukraine au début du mois d’octobre, l’augmentation des cours moyens de l’essence de 18% et l’augmentation de ceux du gazole de 12%, la baisse des cours de butane de 11% pour le 5ème mois consécutif en raison d’une saison anormalement chaude qui réduit fortement la demande en Europe, la diminution de la parité euro/dollar de 2% sous l’effet des politiques monétaires défavorables à la zone euro. 

 

« On essaie de compenser le plus possible »

Cependant, le ministre délégué chargé des Outre-mer, Jean-François Carenco, est en mission. À l’heure actuelle, le ministre débat avec les acteurs concernés pour diminuer les prix des carburants en Outre-mer et notamment en Martinique. 

 

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Prix des carburants : coup de pouce de l’État, mais pas de Total

 

« Les prix ont baissé. L’effort est considérable. Il est plus considérable en Outre-mer qu’en métropole. Total a fait une remise à Mayotte. Il ne l’a pas fait ici pour des raisons que j’assume mais qui ne sont pas ma faute », a expliqué le ministre dimanche soir dans le journal télévisé de Martinique la 1ère. En Martinique, Total a voulu appliquer une remise de 20 centimes, comme en métropole, mais les fournisseurs d’énergie n’ont pas réussi à s’entendre pour faire baisser les prix. La direction du pétrolier a donc fait savoir que son dispositif ne serait pas appliqué chez nous pour ne pas bouleverser l’équilibre social du marché.

« Je me bats encore pour des mesures qui soient plus favorables à l’Outre-mer qu’en métropole, a confié Jean-François Carenco. On peut essayer de lisser, cela est prévu. On lisse avec la Sara, on lisse un certain nombre de sujets. La Martinique n’est pas en dehors du monde. On essaie de compenser le plus possible, a-t-il assuré. Cette compensation a eu lieu et continue. Elle continue plus faiblement, encore que, en Martinique et dans les Antilles, on essaie d’amortir sur la durée en attendant une hypothétique baisse, mais j’y crois encore », a-t-il conclu.

 

Le prix des carburants

Les nouveaux tarifs des carburants prévus au 16 novembre 2022, sauf changement de dernière minute : 

– Supercarburant sans plomb : 1,76 €/L, soit +0,24 €/L par rapport à octobre 2022 (1,52 €/L), au lieu de 1,59 €/L du 1er au 15 novembre. 

– Gazole routier : 1,91 €/L, soit +0,09 €/L par rapport à octobre 2022 (1,72 €/L), au lieu de 1,74 €/L, soit +0,02 €/L du 1er au 15 novembre. 

Sans l’application de l’aide exceptionnelle les prix seraient les suivants : 

– Supercarburant sans plomb : 1,84 €/L, soit +0,07 €/L par rapport à octobre 2022 (1,77 €/L).

– Gazole routier : 1,99 €/L, soit +0,02 €/L par rapport à octobre 2022 (1,97 €/L).

 

Le prix du gaz

La bouteille de gaz (de 12,5 kg) passe à 24,41 €, soit -2,28 € par rapport à octobre 2022 (26,69 €). 

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