La raret? du carburant fait grimper les prix du transport en commun

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Le Nouvelliste

Quand les produits p?troliers se font rare dans les stations d’essence et se vendent dans les coins de rues ? des prix exorbitants, les chauffeurs des transports en commun augmentent ipso facto les prix de leurs circuits respectifs. Au cours des derni?res semaines, les passagers ont fait face ? une escalade des prix dans les transports en commun. Les chauffeurs fixent les nouveaux prix comme bon leur semble.

Il est plus facile de s’approvisionner dans la rue ? proximit? d’une station d’essence que dans les stations-service. Apr?s une journ?e de travail, j’ai parcouru toute la ville, la semaine ?coul?e, pour trouver une station d’essence o? il est possible de faire le plein sans succ?s. J’ai trouv? quelqu’un qui stocke la gazoline, il a refus? d’accepter 1 000 gourdes pour un gallon >>, a argu? un chauffeur de taxi qui exigeait 75 gourdes aux passagers qui montent ? bord de sa voiture. Certains chauffeurs de taxi ont ajout? 25 gourdes ? l’ancien prix et d’autres 50 gourdes.

Entre les chauffeurs et les passagers, l’ambiance est souvent tendue. Ces derniers n’accueillent pas favorablement l’augmentation des prix de plusieurs circuits de la capitale. <>, s’est plaint un passager.

Les circuits P?tion-Ville- centre-ville (par Delmas) et Delmas-centre-ville sont pass?s respectivement de 35 ? 50 gourdes et de 40 ? 50 gourdes, durant les derni?res semaines. Ces augmentations se font arbitrairement. Les autorit?s gouvernementales laissent le champ libre aux chauffeurs depuis la derni?re augmentation des prix des produits p?troliers ? la pompe officiellement. Le gouvernement n’avait pas fix? de nouveaux tarifs et s’?tait mis d’accord avec des organisations syndicales du transport en commun pour garder les prix inchang?s.

Depuis quelques ann?es, les chauffeurs n’attendent pas que les autorit?s gouvernementales fixent les prix. Ils le font eux-m?mes et souvent de concert avec des gens qui contr?lent les stations de bus et de taxi et les organisations syndicales. <>, a d?plor? un chauffeur, critiquant la police, le gouvernement et les organisations syndicales des transports en commun qui abandonnent les chauffeurs et les passagers ? leur triste sort.

Pour de nombreux chauffeurs, la raret? du carburant est une astuce utilis?e par les autorit?s gouvernementales qui veulent augmenter les prix des produits p?troliers ? la pompe. D’apr?s eux, le gouvernement avait proc?d? de cette mani?re l’ann?e derni?re pour ajuster ? la hausse le prix du p?trole ? la pompe.

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