« L’envie d’avoir un animal, qui ne soit pas un gardien mais beau, s’est démocratisée »

Black Immigrant Daily News

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Wendy Noel
w.noel@agmedias.fr

Les chiens seront présentés à des juges qui évalueront leur conformité avec les standards de leur race.  • DR

Ces samedi 22 et dimanche 23 octobre, l’association canine territoriale de Martinique organise la quatrième édition du Madinina Dog Show, une exposition canine, qui va rassembler 180 chiens de 47 races différentes. Des bêtes à poil qui, aujourd’hui, prennent une place de plus en plus importante dans les familles martiniquaises.

Cette année est « un bon cru », assure
Gil Pierre-Louis, secrétaire de l’association canine territoriale
de Martinique (ACTM), en évoquant les quelque 180 chiens inscrits
et les 47 races représentées au Madinina Dog Show, l’exposition
canine organisée par l’ACTM qui se tient ces samedi 22 et dimanche
23 à l’hippodrome de Carrère. Un chiffre en hausse par rapport à la
dernière édition en 2019 – la pandémie de Covid-19 ayant empêché la
tenue de l’événement ces deux dernières années – où l’on ne
comptait que 140 animaux en compétition. En 1964, lors de la toute
première édition organisée au fort Saint-Louis, seulement une
petite vingtaine de chiens avait défilé. 

« Les Martiniquais font de plus en plus
l’acquisition de chiens de race et se rendent même en France
hexagonale pour les chercher », assure Gil Pierre-Louis. Parmi
lesquels on trouve, entre autres, des bouledogues français, des
braques français, des malinois, des bergers allemands ou encore,
plus étonnant, des huskies. « En 2019, j’ai même vu à
l’exposition un dogue du Tibet. Je n’aurais jamais pensé voir un
chien comme celui-là en Martinique », avance celui qui est
président de la commission exposition au sein de l’association. Ce
week-end d’ailleurs, pour la première fois, un chowchow, race
originaire de Chine, coucourra à l’exposition. 

Un moyen de sensibiliser la population

L’engouement des Martiniquais pour les chiens est
réel depuis quelques années, assure Gil Pierre-Louis. S’il y a une
vingtaine d’années il n’existait que cinq à six vétérinaires sur
l’île, aujourd’hui « il y en a presqu’un par commune. L’envie
d’avoir un animal de compagnie, qui ne soit pas un gardien mais
beau, a pris de l’ampleur, s’est démocratisée ». Un point de
vue partagé par le président de l’ACTM, Roger Rosamond. Lui prend
l’exemple des rayons d’aliments pour animaux qui sont
« grandissants » dans les grandes surfaces de l’île.
« Le Martiniquais prend conscien

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